samedi 12 septembre 2009

ONZE SEPTEMBRE

Je m'en souviens. J'ai vu en direct le deuxième impact, celui qui abattit la deuxième tour. Où étais-je?
Chicoutimi. Palais de Justice. Commission des Lésions Professionnelles, dont j'étais l'assesseur médical. Nous siégions. La première audition du matin venait de s'achever. Quelqu'un entra et s'écria qu'un avion venait de se frapper contre un gratte-ciel newyokais. Le Commissaire alluma le téléviseur. Nous vîmes aussitôt le deuxième avion atteindre la seconde tour. Sans rien n'y comprendre.

Nos auditions se poursuivirent.

Et s'en suivirent les pleurs, les enquêtes, les explications, les réactions. Puis, les ajustements.

Je déteste l'Islam, ses mollahs, ses ayatollahs. J'abhorre cet Islam qui traite ses femmes comme de la merde, qui méprise la personne et la vie des autres, qui coupe des mains et des oreilles. Quand, à YUL ou à POP, je dois enlever mes souliers et ma ceinture afin de parcourir "les cieux d'ailleurs", je me surprends à penser, réflexe de Pavlov: "Crisses d'Arabes".

Delhorno

1 commentaire:

mariposa a dit…

Bien d'accord avec toi Claude, mais ce qui me fruste le plus c'est mon sentiment d'impuissance face à ces évènements et aussi face aux différentes exigences qui en découlent....