J'avais lu quelque part -dans Le Figaro électronique probablement- que le film promettait. De Barratier, celui des Choristes. Y suis allé hier soir. Soir de première. Il n'y avait pas dix personnes dans la salle. Je crois y avoir été, à 64 ans, le plus jeune des spectateurs. Presque deux heures de pur bonheur. FAUBOURG 36. Il te faut, lecteur, aller voir ce film, où il y a de tout. Peu de violence, peu de sexe, peu d'effets spéciaux, cependant. En contrepartie, les thèmes universels y sont abordés: l'amour, l'amitié, l'entraide, l'humour, l'hommerie. Ça se passe à Paris, "Paname", comme ils disent. Gérard Jugnot. Pierre Richard. Merci, Barratier! Je n'en dis pas plus.
De retour à la maison... Un peu de télévision. Canal 202. Super Ecran. Commence à peine "Les Cerf-volants de Kaboul". J'ai lu ce livre il y a deux ou trois ans... Un autre bon film, deux, donc, dans la même soirée. C'est souvent comme ça. Se passent des semaines où les bons films n'existent simplement pas. Puis, comme ça, "la lune devient bleue"! Les chef-d'oeuvre sont une rareté...
Je me rappelle que, depuis la fin des années quarante, alors que Mutt me lisait des articles du "Sélection du Reader's Digest", j'ai toujours aimé me faire raconter une bonne histoire. Je ne dois pas être le seul comme ça. Les films que je n'ai jamais oubliés? Que je revois volontiers?
BEN HUR
DOCTEUR JIVAGO
DAS BOOT
LES UNS LES AUTRES
LA GLOIRE DE MON PERE
LE CHATEAU DE MA MERE
LA MELODIE DU BONHEUR
RAOUL WALLENBERG
LA LISTE DE SCHINDLER
LA COULEUR POURPRE
LES CHORISTES
Mon champion? DOCTEUR JIVAGO.
Merci, Lulu, de m'avoir permis mon premier cinéma -je n'avais pas treize ans. Le théâtre Château, à Port-Alfred. T'en souviens-tu? Tu aimais le cinéma toi aussi, maman. Dommage...
Delhorno
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